• À Santagio du Chili,

    on peut voir ce genre de machine !

     

    Faim de lecture ?

     

    Le premier « Bibliométro » numérique du Chili a ajouté trois nouveaux points de prêt aux 20 points existants du réseau, qui, depuis sa création en 1996, a prêté plus de cinq millions de livres à plus de 55 000 utilisateurs actifs. Les nouveaux espaces de lecture incluent le téléchargement de livres numériques pour les téléphones mobiles et les tablettes grâce au QR code.

    Faim de lecture ?

     

    Ainsi, il est possible d’emprunter un livre comme on achète un sandwich, un café ou des bonbons à un distributeur automatique.

    La collection bibliographique est de préférence récréative, essentiellement parce que l’un des objectifs du programme est de promouvoir le goût de la lecture chez une population non-lectrice. Les grands auteurs nationaux et internationaux sont privilégiés.

    Faim de lecture ?

     

    À quand des distributeurs sur les lignes de métro en France ?

    Est-ce que parmi vous quelqu'un aurait une info à ce sujet ?

     

    Pour en savoir plus voici un lien : 

    Histoires des distributeurs automatiques


    Faim de lecture ?

     


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    En ce moment, je lis et relis Stephen King. C’est l’annonce de la parution prochaine de son excellent roman Misery en édition limitée qui m’a donné envie de me replonger dans son univers. C'est un petit bijou totalement hors de prix ! Voici la 4ème de couverture pour ceux qui ne connaissent pas encore,  je la trouve d'une efficacité redoutable :

    Âme sensible, s'abstenir !

     

    Misery, c'est le nom de l'héroïne populaire qui a rapporté des millions de dollars au romancier Paul Sheldon. Après quoi il en a eu assez : il a fait mourir Misery pour écrire enfin le « vrai » roman dont il rêvait. Et puis il a suffi de quelques verres de trop et d'une route enneigée, dans un coin perdu... Lorsqu'il reprend conscience, il est allongé sur un lit, les jambes broyées dans l'accident. Sauvé par une femme, Annie. Une admiratrice fervente. Qui ne lui pardonne pas d'avoir tué Misery. Et le supplice va commencer. Sans monstres ni fantômes, un Stephen King au sommet de sa puissance nous enferme ici dans le plus terrifiant huis clos qu'on puisse imaginer. 

     

    Âme sensible, s’abstenir !


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